Un défi sportif
Participer à l'aventure, c'est découvrir ensemble ces paysages uniques,
la culture maorie et la pratique d'un tourisme conscient
La traversée de la Nouvelle-Zélande, à pied et en autonomie.
Cette aventure représente 3000km de marche, deux îles, et 200km de kayak.
Pour une durée approximative de 6 mois, dans les terres sauvages de l’île.
En plus d’être un défi personnel, j’ai pour objectif de découvrir les secrets de la culture maori, qui détient une connexion spirituelle puissante avec la nature. Je souhaite aider les communautés et associations locales à ma manière, à hauteur de mes moyens, en utilisant mes mots et mes images.
Je vais réaliser des entretiens avec des acteurs clés de la préservation de notre planète et revenir avec des idées novatrices, que nous pourrons mettre en œuvre en France, pour protéger notre patrimoine naturel.
L'idée est de pouvoir continuer de voyager, mais de façon responsable et consciente, puisque le tourisme est essentiel au maintien économique de certains villages, il permet un échange culturel et une ouverture d'esprit importante pour les pratiquants.
À travers mon aventure, j’espère avoir un impact positif sur les communautés de voyageurs, les sportifs et la jeunesse, j'ai l'espoir d'inspirer un changement de mentalité qui allie la passion du voyage, la pratique du sport et le respect de notre planète.
Je prône également un dépassement de soi, l'importance de repousser nos limites tout en ayant la volonté de casser l'image de la femme fragile.
Concrètement :
Je vais filmer l’intégralité de mon aventure et réaliser des séries de reportages sur différents thèmes :
Mes découvertes éco-touristiques
Les acteurs du Te Araroa et leurs actions
Le département de la conservation (DOC)
Les fermes biologiques, leurs choix concernant l’avenir
Mes actions au sein de ces associations
Les espèces endémiques en danger, comment les protéger
La culture maorie, sa connexion spirituelle avec la nature
Ma vie quotidienne en pleine nature (campement, marche, nourriture, difficultés, etc)
Les témoignages de marcheurs longues distances, un nouveau mode de vie
Dans mes récits, nous allons découvrir comment voyager tout en s'impliquant dans les territoires traversés.
Je partagerai des témoignages captivants sur mes expériences, mes rires et mes joies, mais aussi mes pleurs et mes peurs.
L'aventure, les galères, la vérité, ce que l'on traverse quand on cherche à dépasser ses propres limites.
Pourquoi en Nouvelle-Zélande ?
La Nouvelle-Zélande est un pays reconnu pour son leadership en matière de conservation et maintient un lien puissant avec la nature, il est crucial de s’en inspirer pour favoriser une évolution des mentalités et garantir la beauté de nos montagnes.
Voici quelques exemples de la particularité de ce pays :
Environ 80 % des plantes et animaux de Nouvelle-Zélande sont endémiques, et ne se trouvent nulle part ailleurs dans le monde. En raison de son isolement géographique, le pays a développé une biodiversité unique avec des espèces comme le kakapo (un perroquet nocturne incapable de voler) et le weta géant, un insecte impressionnant surnommé le « dinosaure des insectes ».
La Nouvelle-Zélande possède des forêts de kauris, des arbres millénaires parmi les plus anciens et les plus grands du monde. Certains de ces arbres, comme Tane Mahuta (surnommé le « Seigneur de la forêt »), ont plus de 2 000 ans et sont considérés comme sacrés par les Maoris, symbolisant le lien spirituel avec la nature.
La région de Rotorua est célèbre pour ses phénomènes géothermiques impressionnants : geysers, sources d’eau chaude et mares de boue en ébullition. Cette activité volcanique est due à la position de la Nouvelle-Zélande sur la Ceinture de feu du Pacifique, qui offre un paysage hors du commun que les Maoris considèrent comme un don de la Terre.
Les eaux néo-zélandaises sont parmi les plus riches et protégées au monde. Le sanctuaire de Kaikoura, par exemple, abrite une biodiversité incroyable, qui inclut des cachalots, des dauphins et des orques. Cette région est un modèle pour la conservation marine, reflétant l’engagement du pays à protéger ses océans pour les générations futures.
La Nouvelle-Zélande est un paradis pour les oiseaux. En raison de l'absence de mammifères indigènes, beaucoup d’espèces ont évolué sans prédateurs, comme le rare takahe, un oiseau coloré et lourd qui ne vole pas, et le moa géant, aujourd'hui éteint, autrefois un oiseau emblématique.
Les fjords de la région de Fiordland, sculptés par des glaciers, sont parmi les plus isolés et inaccessibles au monde. Milford Sound et Doubtful Sound, en particulier, sont entourés de pics vertigineux et de cascades spectaculaires, souvent enveloppés de brume, créant un environnement mystique et préservé où la nature règne en maître.
Le Te Araroa est un sentier régénératif, crée par une association caritative en 1994, dans le but de protéger l’environnement et les espèces endémiques locales.
C’est un sentier de randonnée emblématique qui illustre parfaitement les efforts pour préserver la biodiversité et promouvoir des pratiques durables. Il est également l’une des grandes randonnées les plus diversifiées au monde, il offre une immersion profonde dans une nature sauvage et préservée, traverse des cols de haute montagne, des volcans, des plaines, et des rivières.
Des groupes locaux et des organisations de conservation mobilisent des bénévoles pour des activités telles que le nettoyage des sentiers, la plantation d'arbres et la réparation des infrastructures.
Plusieurs organismes de conservation environnementale sur le sentier :
Te Araroa Trust : gère et développe le sentier
Département de la conservation : protection des parcs et réserves nationales
Forest & Bird : conservation des espèces, faune et habitats naturels
Project Awa : restauration de l’écosystème – replantation
Wildlife Trusts : protection faune et habitat naturels
Landcare Research : gestion durable des terres et conservation de la biodiversité
Je partirai à leur rencontre, à travers mon histoire, je te raconterais la leur.
Quand ?
En septembre 2025 sera le moment idéal, pour m’assurer de terminer mon périple avant le mois d’avril (comprenant les temps associatifs).
Les chaînes de montagnes Tararua et Tongariro Crossing dans l'île du Nord ne doivent pas être parcourues entre mai et octobre en raison de la neige sur les cols, des avalanches et des fortes pluies.
Cela me permet également de faire la majeure partie de l'île du Sud pendant les meilleures conditions météorologiques estivales, ce qui permet de réduire les risques d’accidents.
De plus, de nombreuses sections du Te Araroa traversent des terres privées qui sont soumises à des fermetures saisonnières pour l'agnelage entre août et novembre.
Comment ?
Grâce aux réseaux sociaux, qui représentent aujourd'hui l'une des principales sources d'information pour les jeunes : avec environ 90 % d'entre eux les utilisent régulièrement.
Pour 67% des jeunes de 18 à 30 ans, les réseaux sociaux ont plus de pouvoir que les médias – source : #MoiJeune 20minutes
Durant cette aventure, je vais créer du contenu court et authentique qui sera à la fois récréatif et éducatif, spécifique pour obtenir l’attention d’un vaste public. Je souhaite démontrer qu'il n'est pas nécessaire d'être un aventurier comme Mike Horn pour partir à l'aventure, que si toi aussi, tu n'as pas de formation spécialisée dans l'environnement, tu peux, quand même, agir à ta manière.
Nous allons voir comment s'impliquer auprès des communautés que l'on rencontre sur notre chemin, et qui sont les gardiens de notre monde ?
Un film sera réalisé pour retracer la totalité de l'aventure, tu pourras également la suivre en direct via les réseaux et y participer si tu le souhaites.
Un sujet spécifique t'intéresse ? Tu voudrais que je développe sur un point particulier ? Tu as des questions ?
N'hésite pas à prendre contact avec moi pour en discuter !
Et après ?
Ce défi sera un tremplin vers de nombreuses autres aventures.
Je voudrais parcourir les sentiers de France, partager mes apprentissages, rencontrer nos acteurs.
Promouvoir les associations qui luttent dans un même objectif, découvrir les maisons autonomes qui se développent dans nos régions.
Mais aussi, partir à la découverte de différents milieux : marins, forestiers, animaliers.
Nous découvrirons ensemble jusqu'où nous pouvons déplacer les limites du possible.
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Rencontre les gardiens de notre monde
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